Audios Juillet 2025

À ce jour, aucun médicament, aucun complément, ni aucune biotechnologie n’a permis de dépasser les limites de la longévité humaine. Tout au plus, certaines substances nous permettraient-elles de mimer plusieurs aspects du facteur de longévité le plus documenté : la restriction calorique. Tout cela, sans frustrer ni nos appétits ni ceux des industriels. En attendant la pilule de jouvence, nous vous proposons donc de poursuivre l’exploration des clés naturelles de la longévité qui ont fait leurs preuves. Si certaines sont de mieux en mieux identifiées, l’une d’entre elles n’a pas encore fait l’objet de beaucoup d’attention. Et si c’était la plus importante ?

Recherchée pour son aspect écoresponsable et pratique, la gourde réutilisable est disponible presque partout. Mais entre plastique, inox, verre ou aluminium, avec ou sans filtre, comment faire le bon choix ? Ce guide vous aide à y voir plus clair : matériaux à privilégier, filtres utiles ou non, conseils d’entretien et sélection de modèles sûrs.

Eczéma, psoriasis ou encore acné… Et si la clé de la guérison se trouvait dans nos microbiotes cutané et intestinal ? Alors que certains cliniciens n’hésitent plus à intervenir sur le ventre pour apaiser l’épiderme, le microbiote cutané commence, lui aussi, à faire l’objet de recherches. Un levier thérapeutique porteur d’espoir que l’on peut commencer à activer chez soi.

Ni la psychiatrie ni la psychologie n’ont, à ce jour, trouvé la clé qui permettrait de mettre fin à la schizophrénie et à la paranoïa. Ayant accompagné plusieurs personnes atteintes de ces troubles, le spécialiste de la médecine psychosomatique, Philippe Dransart, nous livre quelques pistes de réflexion pour comprendre ce qui se joue dans la « peau » d’un schizophrène ou d’un paranoïaque. Sans prétendre guérir, sa démarche peut éclairer les proches sur la manière d’accompagner leurs souffrances.

On est toujours ravi que l’été arrive, car il est synonyme de vacances, de températures clémentes, de soirées qui rallongent, d’apéritifs en terrasse et de joli teint hâlé. Mais tout n’est pas toujours rose sous le soleil ! La chaleur est parfois difficile à supporter avec les épisodes de canicule. Le retour veineux est plus difficile et met nos jambes à rude épreuve, les coups de soleil peuvent survenir sans crier gare, et on n’est jamais à l’abri d’une chute lors d’une randonnée ou d’une activité sportive, ou des moustiques qui rôdent à l’affût de notre sang. Heureusement, la phytothérapie est là pour remédier à tous les maux de l’été.

Troubles veineux et artériels, maux de tête, problèmes de peau, troubles locomoteurs, symptômes gynécologiques… De l’ayurvéda à la médecine traditionnelle occidentale, les sangsues ont été utilisées depuis des temps très anciens contre toutes sortes de maux. Reliquat des temps barbares ou médecine de pointe ? Abandonnées en France à la suite de l’avènement de la microbiologie, elles sont réapparues dans le cadre de la chirurgie reconstructrice. Emmanuel Duquoc a souhaité tester cette thérapie rare.

À 20 ans, Christiane, alors étudiante, reçoit un diagnostic brutal de leucémie aiguë. Donnée pour condamnée par la médecine conventionnelle, elle entame alors un parcours singulier, mobilisant l’alimentation, le jeûne thérapeutique et la médecine anthroposophique. Aujourd’hui âgée de 82 ans, elle livre un témoignage bouleversant sur la résilience et les promesses d’une approche holistique du cancer.

Depuis quelques années, l’hypersensibilité s’est imposée dans tous les médias sans que l’on comprenne exactement à quoi correspond ce terme ni s’il s’agit d’une richesse ou d’un handicap. Saverio Tomasella, docteur en management et en psychologie clinique, également auteur, chercheur et conférencier, travaille depuis plus de 25 ans sur ce sujet. Et il a beaucoup à en dire…

Montagneuse et enclavée, l’Arménie possède une incroyable variété de plantes sauvages de haute qualité. Surtout, elle a su préserver la connaissance de leur usage au fil des millénaires. Les marchés regorgent de plantes sauvages comestibles et médicinales, les pharmacies en vendent également, et chaque village abrite encore une ou plusieurs guérisseuses, détentrices de recettes dont elles transmettent la connaissance. Aline Mercan nous emmène à la rencontre de l’une d’entre elles.