Dans la première partie de notre entretien, il nous explique que plusieurs graves maladies infectieuses ont disparu au XXème siècle sans l’intervention de vaccins : la lèpre, le typhus, le choléra, la peste… S’arrêtant sur le cas particulier de la variole (un virus qui n’a pas de porteur sain) il revient sur le principe même de la vaccination, trop rarement interrogé. Rappelant que le vaccin court-circuite le système immunitaire ORL et respiratoire, première défense de notre organisme contre les agents pathogènes, Michel de Lorgeril nous invite à réfléchir en termes de rapport bénéfices/risques et à appliquer, lorsque nous nous apprêtons à nous vacciner ou à faire vacciner nos enfants, un vrai principe de précaution.
Trop de vaccins, pas assez de questions. Il est temps d’appliquer le vrai principe de précaution.
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Il ne s’agit pas de rejeter les vaccins, mais de questionner leur usage systématique. Réfléchir, c’est aussi protéger.